Très bel accueil pour LA REINE LÉZARD de Nathalie Lenoir au Max Linder !
Aujourd’hui 26 septembre 2020, était projeté au Max Linder le premier court de Nathalie Lenoir LA REINE LÉZARD.
Instant de complicité avant de rentrer dans la salle entre la réalisatrice et sa comédienne principale, Jennifer Gold.
Grégory Bollack, co-producteur avec François Bouché (Mustang Production) est heureux de présenter ce film qui a été produit avec très peu de moyens, qui a connu de plusieurs rebondissements comme tous projets, mais qui est désormais dans la boite malgré tout et en partance vers de nombreux festivals.
Ce premier court a permis à Nathalie Lenoir et Grégory Bollack de consolider leur duo Auteure-réalisatrice / Producteur et ensemble, ils ont annoncé poursuivre leur collaboration avec QUELQU’UN QUI M’AIMERA TOUJOURS, le premier long de Nathalie Lenoir en tant que réalisatrice.
LA REINE LÉZARD n’aurait pu être tourné sans le soutien des kiss-kiss-bank-bankeurs chaleureusement remerciés, des partenaires bien entendu et de toute l’équipe du film qui s’est investie dans le projet avec enthousiasme et talent, énergie, bonne humeur et bienveillance. Ce film était un véritable pari, le challenge a été relevé !
Entourée de ses comédiens Jennifer Gold, Alain Bouzigues et Cyril Durel, Nathalie Lenoir a laissé son producteur donner le go de la projection, remerciant encore toute son équipe et attendant de connaître la réaction du public… Suspens… Trac et j’en passe…
La lumière se fait et l’ambiance nous emporte. Une jeune auteure (Jennifer Gold) s’installe dans un bel appartement que son éditeur (Alain Bouzigues) lui a déniché pour qu’elle puisse écrire son prochain roman. La jeune romancière se retrouve seule, mais peut être pas autant qu’elle le pensait…
Des ombres, une silhouette diffuse, les signes d’une présence. Une rencontre fortuite ou orchestrée ? Jim Morrison (Cyril Durel) est passé dans cet appartement et ne l’a peut être pas tout à fait quitté. Deux solitudes vont se chercher, s’éviter, se croiser, s’effleurer, s’inspirer.
Fin et léché, le film de Nathalie Lenoir est d’une sophistication sans snobisme grâce à un travail sur la photo et le son remarquable. Film d’auteur moderne, LA REINE LÉZARD flirte avec le fantastique tout en nuance et subtilité quand la mise en scène traduit avec rythme et poésie les non dits de ce huis-clos inspirant.
Le générique de fin à peine entamé, les applaudissements chaleureux des spectateurs venus nombreux se font entendre. Par eux, LA REINE LÉZARD est couronnée !!
Emotion. Joie. Les mots de la présentation n’étaient pas usurpés: chaque membre de l’équipe a donné le meilleur de lui même et cela se voit à l’image. Nathalie Lenoir a su fédérer de véritables talents et orchestrer leurs créativités jusqu’à créer une alchimie bénéfique à la qualité du film.
Ils ne savaient pas que c’était impossible (avec si peu de moyens, si peu de temps, une première réalisation, une première production…) ET ILS L’ONT FAIT!!!!
Bravo à toute l’équipe et longue vie à LA REINE LÉZARD qui commence son parcours de sélections en festival avec le Indie Short Awards de Séoul.